L'arbre en ville, est un outil au service des territoires. Arboclimat propose 6 indicateurs pour bien sélectionner le bon arbre au bon emplacement.
Via Bernadette Cassel, Agrodoc Ouest, Centre de Doc de la MRES
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La Bièvre - SMBVB's curator insight,
September 13, 2016 8:15 AM
Analyse fine des plantes de pied d'arbre à Paris : l'autofécondation comme moyen de s'implanter durablement. Les résultats sont étonnants, la diversité est très grande entre les pieds d'arbres. On compte un assez grand nombre d'espèces, plus de 300, mais très peu sont présentes sur un grand nombre d'arbres. Le caractère discontinu des pieds d'arbre joue un rôle évident. La fécondation croisée est plus difficile car la probabilité qu'elle se produise sur des populations clairsemées est plus faible. Ce résultat montre que pour entretenir la biodiversité végétale, il n'y a rien de mieux que les continuités, même si par des effets "insulaires" des espèces peuvent se maintenir ainsi.
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La Bièvre - SMBVB's curator insight,
October 22, 2016 4:47 AM
La biodiversité urbaine s'appréhende à différentes échelles, celle de l'immeuble n'est pas la plus abordée, elle est essentielle pourtant. Voici une livraison des présentations faites lors d'un colloque passionnant organisé par Natureparif.
DocBiodiv's curator insight,
October 25, 2016 6:10 AM
N'hésitez pas à consulter @la_bievre sur Twitter et Scoopit , fil d'act du Syndicat Mixte du Bassin Versant de la Bièvre qui traite notamment de nature en ville.
La Bièvre - SMBVB's curator insight,
September 6, 2016 3:29 AM
Encore confidentiel il y a quelques années, le développement de la végétalisation des toits de Paris s'impose de plus en plus comme une tendance de fond qui fait l'actualité. L'effet mode n'est pas loin et on aura bientôt droit à un marketing territorial autour de produits agricoles "made in Paris'. On ne s'en plaindra pas, même s'il faudra sans doute se méfier du pur marketing et du développement d'une agriculture pas plus vertueuse que celle qui nous inonde de tomates insipides.
On a ici de beaux exemples comme celui du houblon qui profite des immeubles pour pousser le long des façades. Le cas du miel est intéressant car alors que l'on parle du déclin des abeilles, on voit qu'en ville elles vivent paradoxalement mieux, retrouvant une biodiversité que l'agriculture moderne a fait fuir des campagnes. Et le miel est moins chargé en résidus de pesticides. On est beaucoup sur des effets de niche, mais il faudrait maintenant élargir le focus et s'intéresser non plus à Paris, bien balisé, mais au Grand Paris qui offre des ressources foncières bien plus importantes et pourrait devenir un véritable terrain de développement de l'agriculture urbaine. Aux journalistes de franchir le périphérique et de voir que les toits de banlieue sont aussi des beaux sujets. |
Un outil intéressant au service du développement des collectivités vertes.