Le recul de la banquise arctique en été est aussi lié, pour 30 à 50%, à la variabilité naturelle de l'atmosphère, en plus du réchauffement climatique dû aux activités humaines, selon une étude parue lundi dans Nature Climate Change. Ces chercheurs américains, qui ont analysé et modélisé la situation depuis 1979, ont voulu mesurer la part de l'homme et la part des variations naturelles dans le déclin exceptionnellement rapide des glaces.
Via Lanne Marie-Christine