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Rescooped by Yves Carmeille "Libre passeur" from Paris durable
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La végétalisation de toiture en ville : tendance éphémère ou nouvelle voie pour le durable ?

La végétalisation de toiture en ville : tendance éphémère ou nouvelle voie pour le durable ? | GREENEYES | Scoop.it
Verdir les toits est plus qu'une mode aux États-Unis ; la végétalisation des sommets de gratte-ciels se banalise et s'impose comme une des voies pour rendre les villes plus durables, plus accueillantes et moins énergivores. Faisons le point sur ces toits qui se couvre de nature un peu partout.

Via La Bièvre - SMBVB, Sylvain Rotillon
La Bièvre - SMBVB's curator insight, September 11, 2016 12:58 PM
Les toitures végétalisées sont à la mode, et c'est tant mieux. Cet article dresse un panorama en replaçant les toits verts dans un mouvement de fond qui n'en fait pas une nouveauté (on peut aussi rappeler qu'il s'agit d'un mode traditionnel de toiture, comme les toits de chaume ou en herbe comme en Ecosse). En ville, les avantages sont énormes, mais il ne faut pas non plus en faire l'alpha et l'omega de la ville durable : il s'agit d'un outil pour adapter la ville, qui bien utilisé, dès la conception, permet un gain en isolation, en gestion de l'eau, en traitement des pollutions, mais ne remplacera pas la réalisation d'espaces verts en pleine terre.
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Parisculteurs, la capitale met ses toits au vert 

Parisculteurs, la capitale met ses toits au vert  | GREENEYES | Scoop.it
L’appel à projets des Parisculteurs s’appuie sur les principes de la permaculture. L’objectif est de reverdir la capitale et de développer l’agriculture urbaine, à l’image d’autres villes comme Londres, New York ou encore Detroit. 100 hectares de toitures végétalisées, dont un tiers dédié à la production de fruits et de légumes, et ce d’ici 2020. …

Via Hubert MESSMER , La Bièvre - SMBVB, Sylvain Rotillon
La Bièvre - SMBVB's curator insight, August 30, 2016 8:20 AM
Objectif : reverdir Paris, une des villes les plus minérales du monde. Quelques exemples de sites retenus pour des projets de végétalisation sont présentés ici. On constate que pour certains, le potentiel est évident et qu'il est regrettable que dès la conception la végétalisation n'ait pas été prévue. Ainsi, la médiathèque Françoise Sagan, inaugurée l'an passé, qui présente un vaste toit plat qu'il aurait été plus simple de verdir à l'origine. revenir sur des bâtiments existants est toujours plus coûteux et complexe pour des solutions moins adaptées.
C'est une vraie satisfaction de voir Paris évoluer dans ce sens, avec toute la capacité d'entrainement propre à la capitale, et on espère que les nouveaux projets urbains intègreront d'office des solutions de végétalisation, plutôt que de devoir rattraper les choses après coup.
ROCAFORT's curator insight, August 31, 2016 3:06 AM
Parisculteurs, la capitale met ses toits au vert
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Sur les toits de Paris on sème à la folie

Sur les toits de Paris on sème à la folie | GREENEYES | Scoop.it
Potagers, ruches, poulaillers… les petites merveilles écologiques s’épanouissent au-dessus de nos têtes. 
Via La Bièvre - SMBVB, Sylvain Rotillon
La Bièvre - SMBVB's curator insight, September 6, 2016 3:29 AM
Encore confidentiel il y a quelques années, le développement de la végétalisation des toits de Paris s'impose de plus en plus comme une tendance de fond qui fait l'actualité. L'effet mode n'est pas loin et on aura bientôt droit à un marketing territorial autour de produits agricoles "made in Paris'. On ne s'en plaindra pas, même s'il faudra sans doute se méfier du pur marketing et du développement d'une agriculture pas plus vertueuse que celle qui nous inonde de tomates insipides.
On a ici de beaux exemples comme celui du houblon qui profite des immeubles pour pousser le long des façades. Le cas du miel est intéressant car alors que l'on parle du déclin des abeilles, on voit qu'en ville elles vivent paradoxalement mieux, retrouvant une biodiversité que l'agriculture moderne a fait fuir des campagnes. Et le miel est moins chargé en résidus de pesticides.
On est beaucoup sur des effets de niche, mais il faudrait maintenant élargir le focus et s'intéresser non plus à Paris, bien balisé, mais au Grand Paris qui offre des ressources foncières bien plus importantes et pourrait devenir un véritable terrain de développement de l'agriculture urbaine. Aux journalistes de franchir le périphérique et de voir que les toits de banlieue sont aussi des beaux sujets.